Une Suzuki Virus qui roule au bioethanol
Le boîtier « eFlex Moto EVO » qui permet, une fois qu’il est installé dans une moto, de la faire rouler avec de l’E85, de la SP95 ou 98, ou n’importe quel mélange de ces carburants.
Carburants
Sur demande d’un de ses clients, le garage Endurance Moto à Genève a transformé une moto pour qu’elle puisse aussi bien carburer au biofuel qu’à l’essence. Une modification parfaitement légale et qui peut se révéler bénéfique autant pour l’environnement que pour le porte-monnaie.
A première vue, rien ne distingue la Suzuki Virus de Mike Stoppa d’une autre Suzuki Virus. Rien, à part le fait qu’elle est capable de rouler au bioethanol, aussi dénommé E85 ou superethanol selon les endroits et les stations-service. Ce peintre-carrossier genevois a confié au garage Endurance Motos la délicate tâche de modifier sa moto afin qu’elle accepte indifféremment de l’essence « normale » ou du E85 à la pompe. Une transformation jusqu’ici peu courant en Suisse, mais qui pourrait devenir nettement plus fréquente au vu du prix actuel de l’essence…
Nous avons pu assister à une partie de l’opération, un samedi matin à la rue de Lausanne, chez Endurance Motos Genève. Le chef mécano Didier Burdet a « ouvert » la Virus, autrement dit enlevé le réservoir d’essence, afin d’avoir accès aux circuits électriques régissant l’injection et l’allumage.
Une Suzuki Virus qui roule au bioethanol
Sur demande d’un de ses clients, le garage Endurance Moto à Genève a transformé une moto pour qu’elle puisse aussi bien carburer au biofuel qu’à l’essence. Une modification parfaitement légale et qui peut se révéler bénéfique autant pour l’environnement que pour le porte-monnaie.
A première vue, rien ne distingue la Suzuki Virus de Mike Stoppa d’une autre Suzuki Virus. Rien, à part le fait qu’elle est capable de rouler au bioethanol, aussi dénommé E85 ou superethanol selon les endroits et les stations-service. Ce peintre-carrossier genevois a confié au garage Endurance Motos la délicate tâche de modifier sa moto afin qu’elle accepte indifféremment de l’essence « normale » ou du E85 à la pompe. Une transformation jusqu’ici peu courant en Suisse, mais qui pourrait devenir nettement plus fréquente au vu du prix actuel de l’essence…
Nous avons pu assister à une partie de l’opération, un samedi matin à la rue de Lausanne, chez Endurance Motos Genève. Le chef mécano Didier Burdet a « ouvert » la Virus, autrement dit enlevé le réservoir d’essence, afin d’avoir accès aux circuits électriques régissant l’injection et l’allumage.